Presse
Les 3 coups | Outre sa qualité picturale, cette farce métaphysico-poétique se révèle d’une acuité saisissante, entre puissance sauvage et infinie délicatesse | + lire l’article
La Libre.be | Comment, avec délicatesse, rigueur, et poésie, créer un univers hors du commun, passer du noir au blanc, exploiter l’espace scénique, surprendre et offrir un moment de grâce? | + lire l’article
L’Œil d’Olivier | Ovni théâtral, Là séduit par son incongruité, ses chants opératiques, ses vocalises décalées. | + lire l’article
ScèneWeb | Là de la compagnie franco-catalane Baro d’Evel est une délicate déclaration de tendresse au monde. À toutes ses langues, à tous ses habitants | + lire l’article
Revista de danza | Baro d’evel grandit. Sa façon de comprendre la scène passe pour être unique. […] Là, gravit un échelon dans leur déjà longue trajectoire | 8 juillet 2018 – Omar Khan
Recomana.cat | Le spectacle est un puzzle d’émotions humaines et un flot d’expressivité qui met la compagnie Baro d’evel au sommet de la création contemporaine. | le 9 juillet 2018 – Marcel Barrera
Mouvement | Là séduit et accroche : ce spectacle minimal ne fait que suivre avec une infinie poésie les mouvements de la vie. | 30 octobre 2018 – Sophie Puig
Flash Hebdo | Là est un voyage en forme de claque, une façon de donner au monde d’aujourd’hui une superbe mélodie. | 11 janvier 2019 – Thomas Bartherote
Sceneweb | La lumière, le son et le déséquilibre trouvent toujours leur place dans cette polyphonie qui façonne une narration virtuose et onirique, déploie des trésors d’ingéniosité matérielle, des ressources physiques proches du sublime. | 24 janvier 2019 – Géraldine Pigault
ABC de Sevilla | «Là» est une œuvre surprenante qui montre que les frontières du cirque sont encore à découvrir, ou mieux encore, ne se découvrent jamais. La complexité et l’exigence de Blaï Mateu Trias et Camille Decourtye sont extrêmes, physiques et théâtrales. | 15 février 2020 – Marta Carrasco
Diario de Sevilla | Là n’est pas un spectacle de cirque. C’est un spectacle imaginatif et total, fait de mille matières : mime, danse, théâtre, acrobatie, chant, arts plastiques… et surtout de poésie. Une poésie qui, soit avec le corps, soit avec un micro – créateur de sons et pinceau – est peinte en noir et blanc (comme devait l’être celle de Pollock ou de Tapies) pour ensuite, au milieu du chaos bicolore, nous donner des émotions insolites. | 15 février 2020 – Rosalia Gomez